Installation in situ, acier et peinture satinée, dimensions variables et lettrage adhésif sur mur, 26 x 6,5 cm
24 lieux dispersés dans l’agglomération et au Grand Café
Dans une partie de son travail, Ignasi Aballí questionne les institutions muséales et leurs collections. Il s’intéresse à des notions d’absence, et tend à rendre perceptible l’invisible. Pour l’exposition Chroniques de l’Invisible, l’artiste a choisi d’interroger l’histoire du musée de Saint-Nazaire, disparu pendant la guerre, dont il replace des signes dans la ville, comme une présence fantomatique.
Dans les murs du Grand Café, ce sont les traces d’œuvres et de spectateurs fantômes : de la poussière, des ombres ou des reflets qui viennent rendre compte de cette institution spectrale.